Merci, madame la présidente.
Merci, Mike, de partager votre temps avec moi.
Bienvenue aux témoins. Je sais qu'il s'agit d'un sujet très important qui nous touche tous au Nunavut et je suis heureux d'avoir la possibilité de pouvoir écouter les témoins et de participer à la séance. J'apprécie cela.
Une des choses qui ont été mentionnées au cours des discussions avait trait aux appels à l'action. On a mentionné le numéro 18 en disant essentiellement que notre état actuel découle de la façon dont nous avons été traités par le passé. Cela n'a pas d'importance, selon moi, que vous soyez un Inuit, un Métis ou que vous fassiez partie des Premières Nations. Nous avons tous souffert de la même façon et devons guérir. Je crois que c'est la première étape la plus importante que nous devons traverser.
L'appel à l'action numéro 21, qui demande au gouvernement fédéral de fournir du financement durable destiné aux centres de guérison pour Autochtones existants et nouveaux, afin de guérir les blessures physiques, mentales, émotionnelles et spirituelles causées par les pensionnats, et de s'assurer de fournir du financement aux centres de guérison au Nunavut et dans les Territoires du Nord-Ouest, est une priorité.
Je sais, et Michael et la plupart d'entre vous qui provenez de régions rurales et éloignées nordiques pouvez le confirmer, qu'il n'y a rien. Au Nunavut et dans les Territoires du Nord-Ouest, nous n'avons rien, et c'est la même chose dans la plupart des régions nordiques et éloignées des provinces.
Croyez-vous qu'il devrait s'agir d'une priorité du gouvernement de financer les centres de guérison dans les régions rurales et éloignées où nous observons les taux de suicide les plus élevés afin d'être en mesure d'aider les personnes à guérir et à aller de l'avant d'une manière saine? Merci.