Madam Speaker, we have heard throughout this debate that seniors were disproportionately impacted by COVID-19, and we know that this was particularly true for seniors living in long-term care.
In the previous Parliament, I had the opportunity to initiate a study at the HUMA committee to review the impact of COVID-19 on the financial and social health and well-being of seniors. The purpose of the study was to understand the impact on seniors, take lessons from that understanding and make specific recommendations to improve supports for seniors. We know that long-term care was central to that study, and the committee heard important testimony that spoke directly to the experiences and needs of seniors, their families and staff in care homes.
I was relieved that in this Parliament, the HUMA committee completed that study. The report entitled “The Impacts of COVID-19 on the Well-Being of Seniors” was tabled in the House just recently. Similar to recommendations in that report, the motion being debated today calls on the government to work collaboratively with provincial and territorial governments to ensure that seniors receive adequate care.
I certainly appreciate and support the member for Avalon calling on his own government to act, but action must be taken. We know that the status quo is unacceptable and that the government can do better.
The conversation really turns to the Liberal government and the seniors minister. It is not enough to pass the motion in the House. The needle needs to move, and we know and have heard that action is past due. There are areas that fall under federal jurisdiction that can be acted on in the immediate term, and while we know that provincial jurisdictions must absolutely be respected, especially as priorities and needs may different regionally, the federal government can certainly provide leadership.
Madame la Présidente, on répète depuis le début du débat que les aînés ont été particulièrement éprouvés par la COVID‑19, et c'est encore plus vrai pour ceux qui habitent dans un centre d'hébergement de longue durée.
Pendant la législature précédente, j'ai convaincu le comité des ressources humaines d'entreprendre une étude sur les effets de la COVID‑19 sur la santé financière et sociale ainsi que sur le bien-être des aînés. Cette étude visait à comprendre les répercussions subies par les aînés, à en tirer des leçons et à recommander des façons de mieux aider les personnes âgées. Les soins de longue durée étaient au cœur de cette étude, et certains témoins entendus par le comité sont venus parler de leur expérience et expliquer les besoins des aînés vivant dans de tels établissements de même que ceux de leurs proches et du personnel qui en prend soin.
J'ai été soulagée d'apprendre, au début de la législature actuelle, que le comité avait terminé son étude. Son rapport, intitulé « Les répercussions de la COVID‑19 sur le bien-être des aînés », a été déposé à la Chambre récemment. Tout comme les recommandations qui s'y trouvent, la motion d'aujourd'hui demande au gouvernement de faire tout ce qui est en son pouvoir, en collaboration avec les provinces et les territoires, pour que les aînés reçoivent les soins dont ils ont besoin.
Je suis très reconnaissante au député d'Avalon d'avoir demandé à son gouvernement d'agir, mais encore faudrait-il qu'il soit entendu. Le statu quo est inacceptable, et le gouvernement est capable de mieux.
La balle est dans le camp des libéraux et de la ministre des Aînés. Ce n'est pas assez de donner son appui à une motion. Les choses doivent bouger et il est plus que temps qu'il se passe quelque chose. Dans l'immédiat, le gouvernement peut agir sur les éléments qui sont de son ressort, et si tout le monde s'entend pour dire que les compétences des provinces doivent absolument être respectées — d'autant plus que les priorités et les besoins peuvent varier d'une région à l'autre —, cela n'empêche pas le fédéral de montrer l'exemple.