Mr. Speaker, on December 14, I raised with the Minister of International Development the numerous media reports of UNRWA employee involvement in the October 7 Hamas terrorist attack against Israel.
I asked if the minister still held the view that regardless of an UNWRA employee literally holding an Israeli citizen hostage, he still regarded UNWRA as a “trusted” agency. This is important because, unlike the minister, several UNWRA donor countries, our allies, did not share that same glowing view and quickly suspended funding to UNWRA pending an investigation.
How is it possible for UNWRA to be held in such high esteem by the minister and the Liberal government when evidence indicates UNWRA is joined at the fanatical hip of Hamas?
I am glad the minister was able to at least admit allegations against UNWRA were “very disturbing” and that Canada’s concerns had been expressed to the head of the agency. These concerns should be clearly conveyed because, and I do not think members would be surprised to hear this, but Canadian taxpayers are not keen on funding listed terrorist organizations.
On February 1, in response to my question, the minister said that the government was awaiting the results of the UN investigation and did not want to “jump to conclusions”, but the investigation’s final report is scheduled to be published on April 20, and the Liberal government restored UNWRA funding on March 8.
Does the minister have a secret ability to time travel? Did the government know something no one else did? It did not wait for anyone to jump, or not jump, to conclusions. It simply made its own. Moreover, on March 8, the Liberal government reinstated UNRWA funding, despite the ongoing UN investigation and despite the fact that the government had been briefed with additional information that very morning of that same day.
What led Canada to jump the gun on resuming UNWRA funding? I thought the minister had said they would wait for the results of the investigation. How would the Canadian government know what that final report had found when the investigation has not finished and the report has not even been published yet?
Instead, let us examine what the Liberal government did know prior to its decision to restore funding to UNWRA on March 8. It knew that Hamas is deeply embedded in UNRWA and in key posts. It knew that Hamas members dominate UNWRA’s education system. It knew that Hamas uses UNWRA facilities for military activities. It knew that UNWRA’s education system incites hatred and even glorifies suicide bombers.
On that Friday afternoon of March 8, when the Liberal government reinstated funding, it also knew that at least 15 UNWRA employees were involved in the October 7 terror attack. It also knew that nearly 2,000 UNWRA employees, more than just a few bad apples, but one in six, are members of a terror organization. That is the extent of what our government knew, yet it still decided to reinstate funding.
Let us not stop there. It also knew that there are six UNWRA school principals in Gaza who are Hamas members. As well, 11% , or one in nine, of UNWRA’s facilities contain terror infrastructure.
What kind of madness has permeated the Government of Canada to restore funding to an agency more concerned with the advancement of terror than it is with any humanitarian work on behalf of the innocent Palestinian people?
Monsieur le Président, le 14 décembre, j'ai parlé au ministre du Développement international des nombreux reportages des médias sur l'implication d'employés de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies, ou UNRWA, dans l'attaque terroriste que le Hamas a menée contre Israël, le 7 octobre.
Je lui ai demandé s'il considérait toujours l'UNWRA comme un organisme « de confiance », même si un de ses employés a carrément tenu en otage un citoyen israélien. C'est important, car, contrairement au ministre, plusieurs pays donateurs de l'UNWRA, qui sont nos alliés, n'étaient pas aussi élogieux à l'égard de l'UNWRA et ont rapidement suspendu le financement accordé à l'organisme en attendant la tenue d'une enquête.
Comment le ministre et le gouvernement libéral peuvent-ils tenir l'UNWRA en si haute estime alors que les faits montrent que l'UNWRA entretient des liens étroits avec des fanatiques du Hamas?
Je suis heureux que le ministre ait pu au moins admettre que les allégations contre l'UNWRA étaient « très perturbantes » et que le Canada ait fait part de ses préoccupations au dirigeant de l'organisme. Ces préoccupations devraient être clairement exprimées, car les députés ne seront guère surpris d'entendre que les contribuables canadiens ne sont pas très chauds à l'idée de financer des organismes inscrits sur la liste des organisations terroristes.
Le 1er février, en réponse à ma question, le ministre a dit que le gouvernement attendait les résultats de l'enquête de l'ONU et ne voulait pas « sauter aux conclusions ». Or, même si la publication du rapport final de l'enquête est prévue pour le 20 avril, le gouvernement libéral a rétabli le financement de l'UNWRA le 8 mars.
Le ministre a-t-il le pouvoir secret de voyager dans le temps? Le gouvernement savait-il quelque chose que personne d'autre ne savait? Il n'a pas attendu que les gens sautent ou ne sautent pas aux conclusions. Il a tout simplement sauté à ses propres conclusions. De plus, le 8 mars, le gouvernement libéral a rétabli le financement de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, malgré l'enquête en cours de l'ONU et le fait que le gouvernement avait reçu des renseignements supplémentaires le matin même.
Qu'est-ce qui a amené le Canada à devancer le moment où il a décidé de rétablir le financement de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient? Je croyais que le ministre avait dit qu'on attendrait les résultats de l'enquête. Comment le gouvernement canadien pourrait-il savoir ce que le rapport final a révélé alors que l'enquête n'est pas terminée et que le rapport n'a même pas encore été publié?
Penchons-nous plutôt sur ce que le gouvernement libéral savait avant de décider, le 8 mars, de rétablir le financement de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient. Il savait que le Hamas est profondément ancré dans l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient et dans des postes clés. Il savait que les membres du Hamas dominent le système d'éducation de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient. Il savait que le Hamas utilise les installations de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient pour des activités militaires. Il savait que le système d'éducation de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient incite à la haine et glorifie même les kamikazes.
Quand le gouvernement libéral a rétabli le financement le vendredi 8 mars en après-midi, il savait également qu'au moins 15 employés de l'UNWRA étaient impliqués dans l'attentat terroriste du 7 octobre. Il savait également que près de 2 000 employés de l'UNWRA, c'est-à-dire un employé sur six, ce qui est plus que quelques pommes pourries, étaient membres d'une organisation terroriste. Le gouvernement en savait donc beaucoup, et pourtant il a décidé de rétablir le financement.
Ne nous arrêtons pas là. Il savait également que six directeurs d'école de l'UNWRA à Gaza étaient membres du Hamas. En outre, 11 % des établissements de l'UNWRA, c'est-à-dire un sur neuf, contiennent des infrastructures terroristes.
Quel genre de folie s'est emparée du gouvernement du Canada pour qu'il rétablisse le financement d'une agence plus préoccupée par les avancées du terrorisme que par le travail humanitaire au nom des Palestiniens innocents?