First of all, I want to make it very clear, Mr. Chair, that it wasn't the Minister of Foreign Affairs. We never actually had any discussion about this. I can't talk about whatever internal discussions might have happened at the lower levels of Global Affairs, but one thing I can tell you when it came to defence and this exercise is that I wasn't aware that it was actually taking place. It was based on the agreements that were done, as I stated, and signed by the previous government. That work was continuing.
Obviously, after our two Michaels were arbitrarily detained, I gave direction that we were not to continue with any type of further relationship. That's exactly what we have right now.
When it comes to the relationship with China, we work very closely with our allies in how we make decisions based on the work. Originally it was about humanitarian and disaster response, on which we could work together. [Technical difficulty—Editor] made at the exercise that we conduct at RIMPAC. It's one of the largest naval exercises, and China would not be invited to that.
We work very closely with our Five Eyes partners on what types of relationships we build, because ultimately it's only through multilateralism that you're able to have the biggest impact.
Tout d'abord, je tiens à préciser, monsieur le président, que ce n'était pas le ministre des Affaires étrangères. Nous n'avons jamais eu de discussion à ce sujet. Je ne peux pas parler des discussions internes qu'on aurait pu tenir aux échelons inférieurs du ministère des Affaires mondiales. Ce que je peux vous dire en ce qui concerne la défense et cet exercice, c'est que je n'étais pas au courant de ce qui se passait. Cet exercice était fondé, comme je l'ai dit, sur les accords qui avaient été conclus et signés par le gouvernement précédent. Ce travail se poursuivait.
Évidemment, après la détention arbitraire de nos deux Michael, j'ai donné comme consigne de ne pas poursuivre un quelconque type de relation. C'est exactement la situation actuelle.
En ce qui concerne la relation avec la Chine, nous travaillons en étroite collaboration avec nos alliés pour prendre des décisions en fonction du travail. À l'origine, il s'agissait d'interventions humanitaires et en cas de catastrophe, auxquelles nous pouvions collaborer. Des [Difficultés techniques] sont apparues lors des opérations que nous menons dans le cadre de l'exercice RIMPAC. Il s'agit de l'un des plus grands exercices navals, et la Chine n'y serait pas invitée.
Nous travaillons en étroite collaboration avec nos partenaires du Groupe des cinq sur les types de relations que nous établissons, car, au bout du compte, ce n'est que par le multilatéralisme que l'on peut avoir la plus grande incidence.