Thank you. I think that is a source of some of the confusion.
I want to refer you to the same article that Ms. Michaud did, but to a different point. You talked about parole being not so much for the offender but for you and me. You said that when used properly, paroling eligible inmates helps smoothen their transition back into society, which reduces their likelihood to reoffend. Fair enough.
The article continues:
The main test for paroling an inmate should be whether they are a risk to the public, Campbell said. Other factors are weighed as well, but ultimately if a candidate poses little risk to the community they should be let out under supervision.
My assessment of what you said in your opening remarks and in response to questions is that in your opinion, the decision to parole Mr. Gallese in this case was correct, that he was properly assessed and that he was therefore of little risk. You've defined that, I suppose, by saying a 20% risk is enough to be considered little risk.
Do you stand by that?
Je vous remercie. Je pense que c'est source d'une certaine confusion.
Je veux revenir à l'article auquel Mme Michaud a fait référence, mais à un autre sujet. Vous avez indiqué qu'au chapitre de la libération conditionnelle, ce n'est pas tant le délinquant que vous et moi qui importons, ajoutant que lorsque la libération conditionnelle est adéquatement utilisée pour des détenus admissibles, elle contribue à faciliter leur réintégration dans la société, réduisant ainsi leurs risques de récidive. Fort bien.
L'article continue ainsi:
Selon Mme Campbell, lorsqu'on envisage d'accorder une libération conditionnelle à un détenu, le risque que ce dernier présente pour la population devrait constituer le principal facteur à prendre en compte. D'autres facteurs pèsent dans la balance, mais au bout du compte, si un candidat présente peu de risque pour la communauté, il devrait être libéré sous supervision.
Si je comprends bien ce que vous avez dit dans votre exposé et dans vos réponses aux questions, vous considérez que la décision de libérer M. Gallese sous conditions était correcte, que cet homme avait été adéquatement évalué et qu'il présentait donc un faible risque, définissant ce facteur, je suppose, en indiquant qu'un risque de 20 % est jugé faible.
Maintenez-vous ces propos?