No, we wouldn't change that. Our perspective on the changes by the CMHC is essentially that they're moving out of a market that is going to be serviced by the private sector providers. At the very margin, it might have an impact on housing market activity in the urban centres, but we don't think it's going to have a significant impact, as I said, because they're basically freeing up space for the private sector folks to go in. Whether that was the intention or not, I think that's what's going to happen.
The bigger issue in the housing market from our perspective is simply the supply-demand imbalance, which is that the housing market in Canada remains generally under-supplied. Population growth has been really strong. Because of COVID there's been a slowdown in construction activity, so these factors conspire, if you will, to put us in pretty good standing when we reopen and folks are more comfortable going back out.
That's part of what you're seeing, I think, in some of the housing market activity in June and May. There's a sense out there that folks need to jump on a property while they still can, because there still is a shortage, generally speaking.
Non, nous ne la modifierons pas. À notre avis, la SCHL a mis en place ces changements pour délaisser un marché qui sera occupé par le secteur privé. Cela pourrait avoir une incidence sur l'activité immobilière dans les centres urbains, mais nous ne croyons pas qu'il y aura des répercussions importantes, comme je l'ai dit, car cela ne fait que laisser la place au secteur privé. Je ne sais pas si c'était ou non l'intention de la SCHL, mais j'estime que c'est ce qui se produira.
Le principal problème dans le marché immobilier, selon nous, est tout simplement le déséquilibre entre l'offre et la demande, car l'offre dans le marché immobilier au Canada demeure insuffisante. La croissance de la population a été très importante. En raison de la COVID, il y a eu un ralentissement dans le secteur de la construction, alors, tous ces facteurs contribuent, si vous le voulez, à nous placer dans une très bonne position lorsque l'activité reprendra et que les gens se sentiront plus à l'aise de sortir.
C'est en partie ce qu'on a pu observer, je pense, dans certains marchés immobiliers en juin et en mai. Les gens ont le sentiment qu'ils doivent saisir une occasion lorsqu'elle se présente, car il y a encore une pénurie, de façon générale.