Thank you.
Thank you to both of you for your excellent presentations and for your service to Canada in your former roles.
I hear you when you say that there is no such thing as a China policy writ large, but surely this is what you're telling us to do. We need more policy. We need to be firmer with this. We need to have rules about that. We need to take action on this, that and the other thing. Fair enough, because that's what we're here for, I think. It's to try to figure out what those elements are.
Let me just put it to you that the material we received from Global Affairs Canada noted that of Canada's top 10 exports to China in 2018, eight were either natural resources or agricultural products that are “vulnerable to sudden and arbitrary trade disruptions”, which we've seen, of course, in the past year. Given that, and given your suggestion that we follow the route of Australia, to some extent, in terms of some of the rules—we saw what happened to them in the years following that, as well as to Norway—should we be prepared to accept, in doing this, that with these kinds of disruptions, we can't count on having agricultural trade with China even though it's helpful to our food security, etc.? Would that be what we'd be inviting if we started adopting these rules holus-bolus? I'm not saying that we should or shouldn't; I'm just asking you if that would be the result.
My question is for both of you.
Merci.
Merci à vous deux pour vos excellents exposés et pour les services que vous avez rendus au Canada dans le cadre de vos anciennes fonctions.
Je comprends ce que vous dites lorsque vous affirmez que nous n'avons pas de politique chinoise d’envergure, mais c'est assurément ce que vous nous dites de faire. Nous avons besoin d’une politique plus musclée. Nous devons être plus fermes à cet égard. Nous devons avoir des règles. Nous devons intervenir à tous égards. Ça tombe bien, parce que c'est pour cela que nous sommes ici, je pense. C'est pour essayer de comprendre quels sont ces éléments.
Les documents que nous avons reçus d’Affaires mondiales Canada indiquent qu’en 2018, huit des dix principales exportations du Canada vers la Chine étaient des ressources naturelles ou des produits agricoles « vulnérables aux perturbations commerciales soudaines et arbitraires », ce que nous avons bien sûr constaté au cours de l'année dernière. Compte tenu de cela et de votre suggestion de suivre la voie de l'Australie, dans une certaine mesure, en ce qui concerne certaines des règles — nous avons vu ce qui leur est arrivé dans les années qui ont suivi, ainsi qu'à la Norvège —, devrions-nous être prêts à accepter, ce faisant, qu'avec ce genre de perturbations, nous ne puissions pas compter sur un commerce agricole avec la Chine, même s'il est utile pour notre sécurité alimentaire, etc.? Est-ce à cela que nous ouvririons la porte si nous commencions à adopter ces règles en bloc? Je ne dis pas que c'est ce que nous devrions faire ou non; je vous demande simplement si cela en serait le résultat.
Ma question s'adresse à vous deux.