Thanks, Mr. Chair.
We went through quite the panel there, starting with the parliamentary secretary and then moving across, with the parliamentary secretary not wanting to play politics and then a Liberal member wanting to relitigate the 2015 election campaign. If anyone is playing politics, it's these Liberal members, who now want to hide behind the horrible and unlawful detention of the two Michaels, the two Canadians held in China. We should rise above politics at a time like this and come together.
Simply appointing an ambassador was something these Liberals failed to do. They failed to pick up the phone, as we suggested to the Prime Minister very early on, and call the Chinese. Now, at this point, the Chinese won't return our phone calls.
If there is nothing to hide and everything is above board, then wouldn't it stand to reason that there be an investigation? If the Liberal government is such a champion of the media, why, at a press freedom conference, did all of the accredited media refuse to attend a scrum with the Minister of Foreign Affairs, Minister Freeland? That was because she tried to bar credentialed Canadian media from attending.
We have a Prime Minister who has said that The Globe and Mail makes stuff up, that they're lying. We've heard him say that twice now. We have a Prime Minister telling us not to believe Canadian media, and we have that same Prime Minister telling us not to believe the Canadian public service.
We have this release, after the fact—and I hear snickers from one of the Liberal staff over there—but I take it very seriously and I'd encourage your staff to take it seriously as well because—
Je vous remercie, monsieur le président.
Que de beaux exposés: tout d'abord le secrétaire parlementaire, qui ne veut pas faire de petite politique, puis un député libéral désireux de relancer les débats de la campagne électorale de 2015. Si quiconque s'adonne à des jeux politiques, ce sont ces députés libéraux, qui utilisent comme prétexte la détention horrible et illégale des deux Michael, les deux Canadiens détenus en Chine. Dans ce genre de circonstances, nous devons nous élever au-dessus de la partisanerie et agir de concert.
Les libéraux ont été incapables de réaliser une chose aussi simple que nommer un ambassadeur. Ils ont refusé de prendre le téléphone, comme nous l'avions suggéré très tôt dans le processus au premier ministre, pour appeler les Chinois. Désormais, à ce point-ci, aucune chance que les Chinois retournent nos appels.
Si les libéraux n'ont rien à cacher ni à se reprocher, il n'est que logique qu'ils acceptent la tenue d'une enquête. Si le gouvernement libéral est un si grand champion des médias, pourquoi, lors d'une conférence sur la liberté de la presse, tous les journalistes accrédités ont-ils refusé d'aller à une mêlée de presse avec la ministre des Affaires étrangères, Mme Freeland? C'est parce qu'elle a tenté d'empêcher des médias canadiens accrédités de participer.
Le premier ministre affirme que le Globe and Mail invente des choses et ment. Il l'a dit à deux reprises. Il nous dit de ne pas croire les médias canadiens et de ne pas croire la fonction publique.
Voilà qu'on nous sert un communiqué après coup. J'entends les ricanements d'un membre du personnel libéral. Je prends la question très au sérieux et j'encourage vos employés à faire de même, car...