Madam Speaker, as I said earlier, at the end of my remarks, I do not think we should be blaming the officers. As for the agency, we will have to see. The commissioner will deal with that.
There have been a good number of complaints, as I said. Many of them have been found to be valid, others not, but these are just the tip of the iceberg. That is how things are across all government services. The people who file complaints are just a fraction of those who could.
Many people are frustrated because their rights are being violated or because they are being mistreated by all types of government officials. However, those people will not necessarily file a complaint. It does not really matter whether half, three-quarters or one-quarter of CBSA officers have done something wrong. I am just saying that there have been many complaints and those complaints are just the tip of the iceberg.
This is therefore a glaring problem that Parliament needs to address. We must find a solution. Bill C-3 gives us that opportunity, which is great. I do not have here at my fingertips the figures or the percentage of clients being well served and poorly served. We do not need to count them to be able to bring in effective provisions that uphold everyone's rights.
Madame la Présidente, comme je le disais plus tôt, en terminant mon intervention, je ne pense pas qu'on doive blâmer les agents. Pour ce qui est de l'agence, on verra. Le commissaire s'en chargera.
Il y a eu bon nombre de plaintes, comme je l'ai déjà mentionné. Bon nombre de celles-ci ont été reconnues comme étant valides, d'autres pas, mais il ne s'agit que de la pointe de l'iceberg. C'est comme cela dans tous les services gouvernementaux. Les gens qui déposent des plaintes représentent une infime partie des gens qui pourraient en déposer.
Beaucoup de gens sont frustrés parce que leurs droits sont brimés ou parce qu'ils sont mal traités par des agents gouvernementaux, quels qu'ils soient. Toutefois, ces gens ne déposeront pas nécessairement une plainte. Il m'importe peu de dire si c'est la moitié, les trois quarts ou le quart des agents des services frontaliers qui ont commis une faute ou pas. Je dis juste qu'il y a eu bon nombre de plaintes et que ces plaintes représentent la pointe de l'iceberg.
C'est donc un problème criant auquel le Parlement doit s'attaquer. On doit trouver une solution. Le projet de loi C-3 nous offre cette possibilité, et c'est tant mieux. Je n'ai pas en main les chiffres ou le pourcentage des clients qui sont bien servis et mal servis. Il n'est pas nécessaire d'en faire le compte pour être en mesure d'adopter des dispositions efficaces qui respectent les droits de tout le monde.