J'interviendrai rapidement.
Monsieur Pasaribu, j'ai trouvé que vous aviez bien indiqué comment les problèmes tels que le changement climatique, la crise financière et le ralentissement économique étaient au fond les mêmes un peu partout sur la planète actuellement.
À mon avis, cela résulte de l'échec des autorités exécutives dans plusieurs pays: elles sont incapables de faire face à ces crises. Aussi, les parlementaires sont responsables de ne pas s'être donné assez de structures internationales. Il est question d'associations parlementaires, de groupes d'amitié tels que le groupe d'amitié parlementaire Canada-Indonésie.
Seriez-vous favorable à l'organisation d'un échange systématique sur Internet où l'on inviterait une vingtaine de parlementaires d'Indonésie ainsi qu'une vingtaine de parlementaires canadiens à échanger sur ces problèmes, un peu comme le fait tout le monde sur la planète actuellement?
De plus, avez-vous une opinion sur le fait qu'il y a actuellement un retour de l'importance de l'État? On s'est rendu compte que le néo-libéralisme total n'aboutissait à rien, qu'il fallait en revenir à des garde-fous et à des contrôles plus adéquats et qu'on avait beaucoup de travail à faire pour trouver d'efficaces garde-fous internationaux.